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Cours De Peinture A L Huile Plage A La Mer

La peinture à l'huile est une peinture dont le liant ou véhicule est une huile siccative qui enveloppe complètement les particules de pigment.

On appelle aussi « peinture » les travaux d'enduction d'une surface par ce genre de produit. Les autoritĂ©s normatives françaises demandent qu'on dise peinturage, mais ce terme n'a jamais pris [1] . La « peinture Ă  l'huile » est donc aussi l'activitĂ© de nombreux artistes peintres passĂ©s et prĂ©sents, ainsi qu'une technique picturale.

Enfin, une « peinture Ă  l'huile » est un tableau peint avec cette technique.

UtilisĂ©e autrefois pour tous les revĂŞtements de protection et de dĂ©coration qui devaient rĂ©sister Ă  l'eau, en mĂŞme temps que pour les beaux-arts, la peinture Ă  l'huile a Ă©tĂ© remplacĂ©e partout au cours de la seconde moitiĂ© du XX e  siècle, sauf en peinture artistique. ConsidĂ©rĂ©e en Occident comme la technique picturale reine, elle a montrĂ© une soliditĂ© remarquable ; des Ĺ“uvres exposĂ©es depuis cinq cents ans et plus sont encore en bon Ă©tat. La formulation des peintures Ă  l'huile affecte la facilitĂ© d'application et l'aspect de l'ouvrage terminĂ© et s'adapte Ă  l'ouvrage envisagĂ©. Les pigments et les charges dĂ©terminent l'opacitĂ© ou la transparence de la pellicule de peinture sèche ; les mĂ©diums Ă  peindre lui donnent une consistance plus ou moins liquide ou pâteuse, influant sur son Ă©tat de surface.

La fabrication de la peinture, Ă  partir d'ingrĂ©dients achetĂ©s chez les apothicaires, est demeurĂ©e le domaine des ateliers d'artistes jusqu'Ă  la fin du XVIII e  siècle, pour ĂŞtre progressivement remplacĂ©e par des produits industriels. Au milieu du XIX e  siècle, l'invention du tube de peinture souple a facilitĂ© la peinture de plein-air et la peinture d'amateur.

La peinture Ă  l'huile a supplantĂ© la technique de la tempera Ă  la fin du Moyen Ă‚ge ; les primitifs flamands en ont gĂ©nĂ©ralisĂ© l'usage, qui s'est ensuite rĂ©pandu en Occident. Ă€ partir du XVII e  siècle, les artistes se rĂ©partissent entre deux approches : la superposition de couches transparentes ou glacis, et le travail en pâtes opaques. Au fil des Ă©poques, la technique de la peinture Ă  l'huile a connu des changements considĂ©rables, liĂ©s aux progrès techniques et aux Ă©volutions esthĂ©tiques. La peinture d'un seul coup, alla prima, autrefois caractĂ©ristique des pochades, a supplantĂ© la lente superposition de couches transparentes.

Histoire [modifier | modifier le code]

Bien qu'aujourd'hui, la peinture Ă  l'huile dĂ©signe exclusivement celle « dont le liant est composĂ© exclusivement d'huiles grasses [2]  », autrefois, le mot « huile » dĂ©signait aussi bien les huiles « fixes » ou grasses que les huiles dites « essentielles », ou volatiles que nous appelons essences. L'« huile » de la peinture pouvait ĂŞtre toute espèce de liant non aqueux [3] . L'intĂ©rĂŞt de l'huile grasse et de diverses rĂ©sines pour la peinture Ă©tait connu dès le X e  siècle, mais son emploi malaisĂ©, la consistance de la peinture, la nĂ©cessitĂ© d'attendre longuement entre chaque couche, s'opposaient Ă  son emploi.

Vasari attribue au peintre flamand Jan van Eyck (1390-1441) l'invention de la peinture Ă  l'huile [4] , suivi par de nombreux auteurs [5] . Il est certain que le procĂ©dĂ© existait avant lui. Le moine Theophilus Presbyter mentionne ses difficultĂ©s au XI e  siècle. Van Eyck l'a perfectionnĂ© associant des rĂ©sines transparentes, durables et souples, Ă  l'huile, entraĂ®nant son adoption gĂ©nĂ©rale [6] . Ce procĂ©dĂ© a permis d'utiliser l'huile pour des commandes pĂ©rennes, et plus tard de peindre sur châssis et non plus sur panneau [7] . Il est vraisemblable que le modèle oriental des laques chinoises ait influencĂ© les artistes europĂ©ens [8] .

L'avènement de la peinture Ă  l'huile en Occident a Ă©tĂ© progressif. Les peintres du Moyen Ă‚ge utilisèrent la tempera qu'ils recouvraient parfois d'une couche huileuse protectrice. Au fil des gĂ©nĂ©rations, cette couche d'huile s'est progressivement chargĂ©e en pigment donnant ce que l'on peut qualifier de premier glacis. On retrouve d'ailleurs dans les tableaux des frères Van Eyck, sous d'innombrables couches de glacis cette sous-couche a tempera. Les panneaux destinĂ©s Ă  ĂŞtre peints Ă©taient imprĂ©gnĂ©s de plusieurs couches de colle et d'enduit, lorsque le bois Ă©tait imparfait, ce qui Ă©tait souvent le cas dans les pays du sud (Italie, Espagne) ; ils Ă©taient prĂ©alablement marouflĂ©s d'une fine toile afin de limiter les effets de dilatation ou de rĂ©traction du bois.

Le passage de la tempera à l'huile voit aussi le passage du bois à la toile. Le bois avait pour inconvénient de limiter les dimensions des tableaux, d'une part à cause de la grandeur maximale qui pouvait être atteinte avec des planches, d'autre part par le poids des œuvres.

La toile montĂ©e sur châssis fait son apparition Ă  partir du XV e  siècle. On en trouve les premières utilisations sur des volets d'orgue Ă  Venise. Ce sont d'ailleurs les VĂ©nitiens qui diffuseront cette pratique en Italie dans le courant du XVI e  siècle et en Flandres par Rubens. La toile, gĂ©nĂ©ralement de lin, doit ĂŞtre recouverte d'une couche d'enduit qui permet Ă  la peinture de s'accrocher. La peinture Ă  l'huile qui produit un film souple convient parfaitement Ă  ce support souple, qu'il est alors possible de rouler pour son transport.

Jusqu'au XIX e  siècle, les peintres prĂ©pareront leurs couleurs dans leurs propres ateliers. Les procĂ©dĂ©s sont issus de l'expĂ©rience, relèvent d'un savoir transmis par l'apprentissage dans l'atelier d'un maĂ®tre, et varient de l'un Ă  l'autre, par le choix des huiles, essences et rĂ©sines, et les mĂ©thodes de prĂ©paration et d'application. La formulation varie selon l'usage qu'on en fait. Le prĂ©cepte gras sur maigre en tĂ©moigne : les fonds se peignent avec des mĂ©langes plus riches en rĂ©sine (maigres), le dessus et notamment les glacis peuvent incorporer plus d'huiles (au sens moderne du terme, grasses). Van Eyck superpose de fines couches transparentes sur un fond clair, et utilise plus de rĂ©sines que d'huile grasse. Rubens emploie du blanc, opaque, pour les lumières. LĂ©onard de Vinci utilise moins de rĂ©sines, et peint en couches très fines de pâte lisse et opaque. Titien abandonne les rĂ©sines, sauf pour les glacis, peint opaque, revient sur ses peintures après des mois de sĂ©chage. Watteau peint plus rapidement, avec beaucoup de siccatifs, d'oĂą un noircissement progressif des tableaux. Cette tendance s'amplifie au XIX e  siècle [9] . « Le peintre du XIX e  siècle, connaissant mal son mĂ©tier, est Ă  la merci d'une industrie aux règles encore non dĂ©finies [10]  ».

Composition [modifier | modifier le code]

La palette du peintre Ă  l'huile

Les couleurs à l'huile sont composées de pigments qui forment la matière colorée et d'un liant composé d'huile de lin purifiée ou d'œillette qui les lie et les agglomère. Le diluant ou solvant de la peinture à l'huile est l'essence de térébenthine ou l'essence de pétrole (ou des équivalents modernes non allergènes).

L'huile utilisĂ©e est gĂ©nĂ©ralement l'huile de lin ou l'huile d'Ĺ“illette, voire l'huile de carthame ou de l'huile de noix. Ce que l'on appelle « sĂ©chage » est en rĂ©alitĂ© un phĂ©nomène de siccativation ou oxydation de l'huile, qui se polymĂ©rise et durcit, sans changer l'aspect de l'Ĺ“uvre, et en quelque sorte, emprisonne les pigments et permet la conservation de la peinture [11] .

La peinture à l'huile est une technique lente à sécher (on devrait dire siccativer), par opposition à la peinture acrylique ou à l'aquarelle, qui sont des techniques aqueuses. Cette particularité permet à l'artiste de prendre le temps de mélanger ses couleurs, de récupérer une erreur et de retravailler son motif pendant plusieurs jours jusqu'à obtenir le fondu, le modelé de la forme, la touche qu'il désire.

Des substances visant à accélérer le séchage, parfois toxiques comme la céruse, pouvaient s'ajouter aux huiles naturellement siccatives. Les frères van Eyck créèrent [12] la technique associant des résines transparentes, durables et souples, à l'huile.

Il est également possible d'obtenir des effets de matière ou de reliefs avec une pâte assez consistante. L'utilisation d'une spatule appelée aussi couteau permet d'obtenir du relief et d'augmenter ainsi la matière de l'œuvre.

On peut améliorer la consistance de la pâte par l'ajout de médiums à peindre, eux-mêmes fabriqués à partir du liant (huile) et de solvant (essence) auxquels on rajoute, éventuellement, pour améliorer la souplesse du film, une résine. Le médium rend la matière plus malléable et donc plus facile à étaler. La présence de résines ne change pas la dénomination courante de peinture à l'huile [13] .

Les mĂ©diums Ă  peindre permettent aussi de respecter la règle du « gras sur maigre » (propre Ă  la peinture Ă  l'huile) qui veut que chaque couche de couleur soit plus grasse que la prĂ©cĂ©dente afin que l'accroche soit solide et durable. L'explication en est très simple : les couches maigres, qui mettent peu de temps Ă  sĂ©cher, entreraient en conflit avec les prĂ©cĂ©dentes plus grasses et toujours en train de sĂ©cher, provoquant un phĂ©nomène variant entre la peau d'orange et celle du reptile au cours de la mue... Ă€ Ă©viter, selon les traditions. Dans les premières Ă©tapes, la pâte sera donc maigre, par adjonction d'essence et progressivement deviendra plus grasse, par ajout d'huile ou de mĂ©dium. L'Ĺ“uvre sera finalement vernie grâce Ă  un vernis Ă  retoucher puis un vernis dĂ©finitif.

L'utilisation de résines (gomme dammar, gomme mastic, térébenthine et térébenthine de Venise...) rend la peinture durable. Sans ces médiums la couche picturale se dégrade rapidement [7] .

Broyage [modifier | modifier le code]

En peinture Ă  l'huile, on appelle broyage le mĂ©lange du pigment en poudre avec le liant. Broyer un matĂ©riau, c'est le rĂ©duire en poudre ; autrefois, cette opĂ©ration se faisait sur une pierre polie, avec adjonction d'un liquide pour maintenir la poussière de pigment. Pour la peinture Ă  l'huile, on broyait gĂ©nĂ©ralement Ă  l'eau, puis on laissait sĂ©cher les pains de poudre pigmentaire, avant de les broyer Ă  nouveau, avec de l'huile ; certains pigments comme le massicot ou le minium devaient se broyer directement Ă  l'huile pour ne pas perdre leur couleur [14] .

Jusqu'au XVII e  siècle, les peintres, ou leurs Ă©lèves, broyaient eux-mĂŞmes les pigments en poudre avec le liant et ils les employaient rapidement. Chacun dĂ©veloppait sa technique, Ă  base de diffĂ©rentes huiles, plus ou moins jaunissantes, utilisĂ©es crues ou cuites. Ainsi l'huile de lin, siccative et peu jaunissante, fut adoptĂ©e devant l'huile d'Ĺ“illette et l'huile de noix, plus claires, mais moins siccatives. Ă€ partir du XVIII e  siècle des marchands de couleurs prĂ©parent les pâtes Ă  peindre qu'ils vendent avec d'autres fournitures pour artistes et pour peintres dĂ©corateurs.

Au XIX e  siècle le commerce des couleurs se transforme en une industrie. Les couleurs fines, pour artistes, se vendent dans des vessies de porc puis dans des tubes de peinture souple Ă  partir de 1841. Aujourd'hui, la fabrication des couleurs Ă  l'huile est principalement industrielle (Lefranc et Bourgeois, Sennelier, Winsor et Newton, Talens). Quelques fabricants ont gardĂ© ou repris des manières traditionnelles afin de produire des couleurs plus proches de celles d'autrefois (Leroux, Blockx, Old Holland, Isaro, Michael Harding). Les peintures Ă  liant rĂ©sine ont supplantĂ© la peinture Ă  l'huile pour les usages de protection et de dĂ©coration.

Les contraintes de stockage ont cependant eu une influence regrettable : les peintres de la Renaissance faisaient cuire des huiles, qui Ă©taient dès le dĂ©part faites de graines torrĂ©fiĂ©es. Les peintures Ă  l'huile prĂŞtes Ă  l'emploi modernes contiennent une huile crue, Ă  base de graines Ă©tuvĂ©es, peu adhĂ©sive et peu siccative, qui permettent une plus longue conservation [7] .

Emploi [modifier | modifier le code]

La technique est restĂ©e longtemps immuable : le peintre dessinait sa composition sur la toile ou sur le panneau de cuivre ou de bois prĂ©parĂ© puis, après une Ă©ventuelle grisaille, montait son sujet avec les couleurs Ă  l'huile, en couches minces, en donnant l'effet de lumière par le jeu des ombres et des reflets. Puis, une fois ces premières couches bien sèches, il les recouvrait de glacis teintĂ©s, transparents, qui harmonisaient la coloration gĂ©nĂ©rale. Le tout formait une surface bien unie, comme une toile cirĂ©e.

La technique a ensuite Ă©voluĂ©, dès la fin de la Renaissance, les peintres commençant Ă  expĂ©rimenter la pâte afin d'accentuer les lumières en leur donnant par exemple plus d'Ă©paisseur. Ce procĂ©dĂ© devint gĂ©nĂ©ral et de nouvelles techniques sont nĂ©es : peinture en pleine pâte, Ă  la touche, par touches sĂ©parĂ©es, avec ou sans Ă©bauche prĂ©paratoire. Les peintres baroques (Rubens, Van Dyck) puis rococo (Boucher, Fragonard) et les Romantiques (Delacroix, GĂ©ricault) ont su exploiter avec brio cette Ă©criture enlevĂ©e qui s'oppose Ă  une manière plus lisse et « lĂ©chĂ©e » de traiter le sujet (peinture nĂ©o-classique, style pompier, surrĂ©alistes). La peinture Ă  l'huile a la particularitĂ© de permettre les deux approches, entre autres.

Les Impressionnistes, et la peinture moderne par la suite, abandonnent le traditionnel procédé par couches superposées pour une technique plus spontanée et directe, considérée autrefois comme pochade, dite alla prima - autrement dit, peindre en une seule séance, sans séchage entre les couches. Ces courants n'ont cessé d'explorer les limites de la peinture à l'huile.

NĂ© des ateliers classiques et des grands formats, le mĂ©tier traditionnel du peintre fut et demeure la base rĂ©fĂ©rentielle de la technique de l'huile. Les couches picturales du tableau sont superposĂ©es selon le principe du « gras sur maigre » et exploitent les transparences de certains pigments, alliĂ©es Ă  celle des mĂ©diums. On les appelle « jus » (très peu de pigment et beaucoup de diluant), « glacis » (très peu de pigment et beaucoup de mĂ©dium corsĂ© en rĂ©sine), « vĂ©latures » (très peu de pigment, beaucoup de mĂ©dium corsĂ© en rĂ©sine et un petit peu de blanc). Par opposition Ă  « pâte », « matière », « charge ».

La peinture en plein air ou « sur le motif » [modifier | modifier le code]

La peinture en plein air date du dĂ©but du XIX e  siècle ; les peintres de l'Ă©cole de Barbizon adoptent cette pratique sous l'influence des aquarellistes anglais comme Constable et Bonington. Elle se gĂ©nĂ©ralise avec l'invention du tube de peinture. Dès le dĂ©but du XIX e  siècle apparurent des vessies de porc destinĂ©es Ă  contenir et Ă  conserver les couleurs Ă  l'huile. Les tubes d'Ă©tain ont Ă©tĂ© inventĂ©s en 1841 [15] . Ces nouveaux rĂ©cipients Ă©taient beaucoup plus pratiques que les vessies de porc et permettaient de conserver les couleurs intactes plus longtemps. Les tubes d'Ă©tain ont permis aux peintres impressionnistes de sortir de leur atelier pour aller peindre des paysages « sur le motif », c'est-Ă -dire dans la nature. La consĂ©quence directe sur la rĂ©volution impressionniste est cependant Ă  nuancer : le brevet d'invention date de 1841 tandis que la première exposition impressionniste date de 1874 [16] .

Supports [modifier | modifier le code]

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La peinture Ă  l'huile a une action corrosive ou interagit chimiquement avec la plupart des supports (toile, bois, papier) [rĂ©f. nĂ©cessaire]. Une prĂ©paration de la surface est indispensable avant de peindre.

Il existe deux grands types de prĂ©paration pour la peinture artistique Ă  l'huile :

  • la prĂ©paration grasse, Ă  base d'huile de lin et de cĂ©ruse (composĂ© de plomb toxique, aujourd'hui interdit dans la plupart des pays), complexe et longue Ă  mettre en Ĺ“uvre, qui n'est pas conforme aux techniques traditionnelles[rĂ©f. souhaitĂ©e].
  • la prĂ©paration maigre, conforme aux traditions, Ă  base de colle de peau et gesso Ă  base de craie, de plâtre mort, ou de poudre de calcaire tendre (qui convient aussi pour l'acrylique), ou, plus moderne, Ă  base de mĂ©dium et de gesso acrylique

Depuis le XVIII e  siècle, les supports du commerce sont dĂ©jĂ  enduits (prĂ©paration universelle ou synthĂ©tique) : on peut donc peindre directement.

Bibliographie [modifier | modifier le code]

Ouvrages modernes [modifier | modifier le code]

  • AndrĂ© BĂ©guin, Dictionnaire technique de la peinture, notamment « Huile (peinture Ă  l'~) », pp. 348~380.
  • Xavier de Langlais, La technique de la peinture Ă  l'huile : histoire du procĂ©dĂ© Ă  l'huile, de Van Eyck Ă  nos jours : Ă©lĂ©ments, recettes et manipulations : pratique du mĂ©tier : suivie d'une Ă©tude sur la peinture acrylique, Flammarion (rĂ©impr. 2011) (1re Ă©d. 1959) (ISBN978-2-08-125821-1 et 2-08-125821-8, OCLC800485280, prĂ©sentation en ligne)
  • Jacques Maroger (prĂ©f. Marc Havel), Ă€ la recherche des secrets des grands peintres, Paris, Dessain et Tolra, (1re Ă©d. 1948)
  • Jean Petit, Jacques Roire et Henri Valot, EncyclopĂ©die de la peinture : formuler, fabriquer, appliquer, t. 1, Puteaux, EREC,
  • Jean Petit, Jacques Roire et Henri Valot, EncyclopĂ©die de la peinture : formuler, fabriquer, appliquer, t. 2, Puteaux, EREC,
  • Jean Petit, Jacques Roire et Henri Valot, EncyclopĂ©die de la peinture : formuler, fabriquer, appliquer, t. 3, Puteaux, EREC,
  • Patrice de Pracontal, Lumiere, matiere et pigment : Principes et techniques des procĂ©dĂ©s picturaux, Gourcuff-Gradenigo,

Ouvrages historiques [modifier | modifier le code]

  • Roger de Piles, Elemens de peinture pratique : Nouvelle Ă©dition entièrement refondue et augmentĂ©e considĂ©rablement par Charles-Antoine Jombert, Paris, (lire en ligne)
  • Jean FĂ©lix Watin, L'art du peintre : doreur, vernisseur , ouvrage utile aux artistes et aux amateurs qui veulent entreprendre de peindre, dorer et vernir toutes sortes de sujets en bâtimens, meubles, bijoux, equipages,etc. , Paris, , 2e Ă©d. (1re Ă©d. 1772) (lire en ligne)
  • Jean-François-LĂ©onor MĂ©rimĂ©e, De la peinture Ă  l'huile, ou Des procĂ©dĂ©s matĂ©riels employĂ©s dans ce genre de peinture, depuis Hubert et Jean Van-Eyck jusqu'Ă  nos jours, Paris, Mme Huzard, (lire en ligne) .
  • Michel-Eugène Chevreul, «Recherches expĂ©rimentales sur la peinture Ă  l'huile », MĂ©moires de l'AcadĂ©mie des sciences de l'Institut de France, Paris,‎ (lire en ligne) .

Notes et références [modifier | modifier le code]

  1. AFNOR d'après BĂ©guin 1990, p. 348.
  2. Norme française T 30.001 citĂ©e par BĂ©guin 1990, p. 348 « Huile (peinture Ă  l'~) ».
  3. Pracontal 2008, p. 168 ; voir encore Antoine Furetière, Dictionnaire universel, t. 2, (lire en ligne) .
  4. Vies, 1550, d'après BĂ©guin 1990, p. 350sq.
  5. Piles 1766, p. 15 (1684) ; MĂ©rimĂ©e 1830, p. 1 doute dĂ©jĂ , voir aussi BĂ©guin 1990, p. 351.
  6. Langlais 2011, p. 29
  7. a b et c Langlais 2011, p.[source insuffisante]
  8. BĂ©guin 1990, p. 351.
  9. Pracontal 2008, p. 161-211 ; Langlais 2011, p. 105-106
  10. Pracontal 2008, p. 208.
  11. Langlais et 2011, p. 150.
  12. Gombrich, Ernst Hans, 1909-, Histoire de l'art, Phaidon, (ISBN0-7148-9207-6, OCLC300468076, lire en ligne)
  13. BĂ©guin 1990, p. 348 « Huile (peinture Ă  l'~) ».
  14. BĂ©guin 1990, p. 131 « Broyage »
  15. d'après Anthea Callen dans les peintres impressionnistes et leur technique, p. 23 et 24
  16. Claude Monet, Monet : l'Ĺ“il impressionniste, MusĂ©e Marmottan, , p. 70

Liens externes [modifier | modifier le code]

  • icĂ´ne dĂ©corative Portail de la peinture

Cours De Peinture A L Huile Plage A La Mer

Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Peinture_%C3%A0_l%27huile

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